QUESTIONS DE COMPRÉHENSION:
1. Quels paralélismes trouvez-vous entre l'histoire de Fatouma et celle de Ahmed-Zahra? (pp. 141, 143, 145-146) Quelle conclusion peut-on en tirer?
2. Quels sont les traits du troubadour aveugle qui permettent de le reconnaître comme Jorge Luis Borges? (pp. 147-148, 149)
3. Le troubadour cite la fin d'un conte à lui; écoutez-la ici, et expliquez, à travers les phrases "Je suis cet autre qui a traversé un pays sur une passerelle reliant deux rêves" (p. 149) et "notre histoire se poursuit, mais elle ne traversera plus de portes creusées dans une muraille. Elle tournera dans une rue circulaire et nous devrons la suivre avec de plus en plus d'attention" (p. 54), l'apparition de Borges dans le roman.
4. Qu'est-ce que le troubadour raconte à propos de la femme arabe qui lui a rendu visite en Buenos Aires? (149-150). Écoutez ce conte du Borges pour mieux comprendre l'histoire du Zahir.
5. "Un livre, du moins tel que je le conçois, est un labyrinthe fait à dessein pour confondre les hommes, avec l'intention de les perdre et de les ramener aux dimensions étroites de leurs ambitions"; "Je me dis, à force d'inventer des histoires avec des vivants qui ne sont que des morts et de les jeter dans de sentiers qui bifurquent ou dans des demeures sans meubles, remplies de sable, à force de jouer au savant naïf, voilà que je suis enfermé dans cette pièce avec un personnage ou plutôt une énigme, deux visages d'un même être complètement embourbé dans une histoire inachevée, une histoire sur l'ambiguïté et la fuite" (p. 153) Selon vous, comment ces phrases du troubadour Borges peut-elle expliquer les changements de narrateur dans "L'enfant de sable"? (Pour comprendre la référence aux "sentiers qui bifurquent" et au "sable"écoutez ici et ici.
Image: L. Chastang
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